Tochi, la Terre Sanglante
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 Kumiko Ayumi, Les Mains Sanglantes

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Kumiko Ayumi
Les Mains Sanglantes
Kumiko Ayumi


Messages : 28

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MessageSujet: Kumiko Ayumi, Les Mains Sanglantes   Kumiko Ayumi, Les Mains Sanglantes Icon_minitimeMar 21 Juil - 0:38

Armes :


Michi est un tessen que la jeune fille range soit dans sa manche, soit dans son obi de manière à ce qu'elle puisse en user fort rapidement afin de se défendre ou d'attaquer.
Lorsqu'il est replié cet éventail est aperçu entièrement noir avec gravé sur la monture le nom du propriétaire : Ayumi.
Lorsqu'il est déplié, l'éventail sur une face présente en argent le kanji 死 (mort) au coeur des douze animaux zodiaques ainsi qu'un autre détail plus discret qui est gravé sur chacune des arrêtes métallique : le nom d'un mois. Quand à l'autre face, l'objet présente -toujours en argent- le court texte suivant : Une défaite n'est rien si tu sais l'apprécier. Ainsi, si ton adversaire te laisse la vie, remercie-le et apprend ; sinon livre ta tête et sourit face à la mort.
Ce tessen est un bien précieux car c'est une arme discrète, pratique et efficace mais aussi parce qu'il représente pour sa propriétaire un souvenir de son passé qu'elle ne désire nullement oublier.

Shieien est un sabre qui ne quitte sous aucun prétexte la jeune fille. Si jamais une séparation venait à avoir lieu, Ayumi se plongerait dans une humeur des plus sombres et elle réduirait le pays à feu et à sang jusqu'à ce qu'elle ait retrouvé cette arme puisque, bien que leur relation n'est pas toujours d'une harmonie parfaite, elle ne saurait vivre sans Shieien qui est une part d'elle-même.
Enfermé dans un fourreau d'apparence modeste -entièrement noir avec seulement une patte de tigre gravé juste au dessus du kojiri et orné qu'un cordage de couleur gris argent- Shieien est un magnifique sabre de cent dix centimètres dont la lame mesure quatre vingt-cinq centimètres. Affûtée à la perfection sous les plus grands soins de la guerrière, les caresses de la lame sont si délicates et précises que les personnes touchées ne le réalisent qu'au mouvement suivant, parfois même bien après selon leur constitution. Sur cette lame fine, solide et souple est gravée la même gueule de tigre qui se situe sur le dos de la demoiselle.
La tsuba (la garde) de cette arme représente du côté de la tsuka (la poignée) un tigre prêt à bondir sur sa proie, et de l'autre côté le même majestueux félin se montre la gueule grande ouverte, sa patte écrasant sa malheureuse victime qu'il s'apprête à dévorer. Ce petit rond de métal montre que le duo Shieien-Ayumi est sur de lui : il guette, traque et abat sa proie, sans état d'âme.

Technique Unique :


(I)Yakusoku : La jeune fille ne bouge plus, elle ne dit mot, elle se tient immobile face à son adversaire. La garde souvent baissée. La tête courbée vers le sol ou le regard plongé droit dans celui de son adversaire, Ayumi semble s'être transformée en statue. Pourtant elle n'en est pas moins dangereuse. En effet cet arrêt n'est pas nécessaire, il lui permet seulement de mieux se concentrer afin d'effectuer au plus tôt sa technique. Ce qui revient à dire qu'en cas d'attaque, elle saura très bien répondre même si elle sera plus disposée à commettre une erreur.
Yakusoku est une technique en trois phases :

_ La première correspond au chant de Shieien. Ce dernier communique avec sa propriétaire. Il lui souffle des doux mots, il la rassure, la charme, l'attire sous sa domination ou la torture amoureusement. Le chant de Shieien annonce une tentative d'union entre l'arme et son guerrier et créé, le temps des négociations, une atmosphère troublée qui se fait ressentir tout autours de la demoiselle. Cette atmosphère ressemble étrangement à une lutte à mort, une guerre sans pitié entre deux forces. Elle est pesante, étouffante, écoeurante et saturée par le sang. Les adversaires de la guerrière ont tendance à vouloir se tenir loin d'elle car cette atmosphère réduit les facultés respiratoires et ralentit le mouvement des corps. Elle perturbe les esprits par son étrange nature, ainsi que les sens : l'odorat et le goût notamment. Cette atmosphère n'est rien d'autre que le Ki libéré d'Ayumi.
Yakusoku ne peut avoir lieu sans cette première étape qui, à dire vrai, se déclenche toute seule dès que la jeune fille commence à être réellement excitée par un combat.
_ La seconde phase se découvre par un calme soudain. La pression a disparu et tout semble être redevenu normal. L'adversaire est libéré de la force spirituelle de la guerrière. Cependant il peut observer dans le dos de celle-ci une ombre qui très rapidement se concrétise pour devenir un magnifique et imposant tigre blanc à la mâchoire puissante : preuve que l'union est établie.
_ Débute alors la troisième étape. La plus brève de toute et la plus sûre : l'attaque.
Le tigre bondit la gueule grande ouverte sur l'adversaire. Celui-ci une seconde après la lancée du félin ressent un léger courant d'air puis il réalise qu'Ayumi n'est plus en face de lui mais dans son dos. A ce moment là il lui est inutile de tourner la tête puisqu'il n'en a plus.

Yakusoku est une technique particulièrement redoutable car actuellement elle est inévitable et imparable -Ayumi ne parvient même pas à arrêter sa course ni dévier son attaque- mais, elle est aussi une technique particulièrement dangereuse, douloureuse et éprouvante pour l'exécutrice à cause des effets secondaires et de l'intervention physique et psychologique que cela lui demande. De fait, la guerrière ne contrôle pas encore tout à fait cette attaque. Elle n'arrive pas à contenir sa puissance et, par conséquent, elle est obligée de l'exécuter au plus haut niveau. Ce qui signifie qu'elle ne peut limiter les dégâts des effets secondaires ; ces derniers étant qu'après avoir effectué Yakusoku, Ayumi est contrainte de cesser toute activité physique durant plusieurs jours. Une méditation serait l'idéal seulement ces jours de repos se déroulent généralement dans le coma. En effet, après cette attaque, la jeune fille ne tient qu'une vingtaine voire dizaine de minutes sur ses pieds avant de sombrer dans une profonde inconscience.
Le principe de cette technique ainsi que ses contrecoups expliquent les raisons qu'a Ayumi de ne pas vouloir abuser d'elle. La souffrance est telle qu'elle évite même de s'entraîner à la pratiquer.


Techniques Secondaires :


(C)La souffrance éternelle : Cette technique à l'origine se surnommait Le Jeu et elle était inspirée des Milles ombres du Héron. Tout comme cette dernière Le Jeu était... est basé sur la rapidité et l'agilité néanmoins il diffère sur plusieurs points. Ceux-ci étant qu'Ayumi ne se contente pas seulement de continuellement se déplacer autours de son adversaire ni de porter une attaque de temps à autre. Bien au contraire le Jeu a complètement évincé cette notion d'attaque pour la remplacer par de la provocation. Cette technique a pour unique but de tester l'adversaire, de le mener exactement là où elle le désire. Le Jeu se déroule ainsi : Ayumi choisit une proie, seule en générale, qu'elle va rendre tout doucement folle, terrifiée, enragée : une proie qu'elle va pousser à l'explosion de sentiments multiples et très divers afin de la faire craquer, de la faire souffrir sans lui infliger la moindre peine physique. Cette réussite tient du fait que la jeune fille est très attentive aux sentiments des autres -lui permettant ainsi de savoir si elle a touché la corde sensible- mais aussi du fait qu'elle peut très rapidement obtenir des informations sur la vie passée et présente de sa future proie. Cette technique qui n'use que des mots soufflés d'une voix aussi légère que la brise afin de caresser l'ouïe de la proie, peut sembler inoffensive mais une personne qui se laisse emporter par ses sentiments est tellement faible... et si simple à dominer, à achever....
Ce goût à faire souffrir autrui fit qu'Ayumi développa le Jeu en la Souffrance éternelle. Ceci signifiant qu'elle ajouta à la torture psychique une torture physique. Le nom même de cette technique traduit tout le principe de celle-ci : faire durer le plus longtemps possible la souffrance en se contentant d'infliger à la victime des blessures sans réelle importance -évitant avec précaution les points vitaux- mais particulièrement douloureuses, affaiblissantes ou gênantes.
Implorer pitié ne servirait à rien si ce n'est à vous attirer les foudres de la jeune fille, ce qui est préférable d'éviter. En effet, même sans ses foudres, les coups qu'elle vous inflige sont vifs et précis mais ils peuvent éventuellement être modérés ; en revanche si le mot pitié venait à être entendu, il n'existerait alors plus aucune modération, bien au contraire, l'esprit de la guerrière se déconnecterait et la souffrance qu'elle infligerait alors ne serait jamais suffisante. A ce stade là, seules la mort ou une personne qui lui est particulièrement proche pourront l'arrêter. Seulement c'est à ce moment là qu'il faudra réaliser qu'Ayumi n'a aucune attache pour rien ni personne...

(I)Le Sacrifié : Technique haïssable pour l'adversaire de la jeune fille mais aussi pour elle-même, Le Sacrifié n'est pas une technique qu'elle a volontairement développé, bien au contraire si elle pouvait l'empêcher elle en serait ravie et soulagée. Cependant malgré ses maintes tentatives elle n'y parvient pas. A chaque fois qu'elle essaie d'arrêter, de contrer ou d'évincer cette technique, elle s'épuise inutilement, ce qui la rend complètement folle. Ayumi maudit cette technique qui a été développée par "l'autre" et qui consiste à former une armure de Ki... afin de la protéger ? Non, seulement pour la préserver. En effet cette armure très fine et pourtant très efficace est présente afin que la guerrière ne subisse aucune voire qu'un minimum de blessure et qu'elle puisse combattre le plus longtemps possible, sabre en main, bien évidemment...
Si Ayumi déteste cette technique c'est pour plusieurs raisons : d'une parce qu'elle n'est pas de sa propre volonté, de deux parce qu'Ayumi aime recevoir la blessure d'une attaque qu'elle n'a su ni parer ni éviter, ceci afin de s'en servir de leçon. Et de trois parce que cela lui révèle combien elle est impuissante face à "l'autre". Ce dernier en créant cette technique souhaite lui rappeler une chose : elle ne pourra jamais se débarrasser de lui. Bien sur elle pourrait arrêter le combat dès que cette technique se met en place, seulement "l'autre" sait parfaitement qu'elle ne le fera jamais...
En effet, bien qu'Ayumi sache pertinemment que si elle venait à arrêter l'affrontement, le Ki utilisé pour l'armure se retournerait contre elle afin de la brûler, ce n'est pas cette menace qui l'empêche d'agir car aucune menace, ne pourrait la manipuler, la soumettre. Non, si elle ne peut mettre fin à un combat -notamment un duel- c'est parce qu'elle en est incapable. Ayumi ne saurait affronter la honte et le déshonneur qu'elle subirait d'abandonner ou de fuir une confrontation. De plus cela ne lui apporterait rien si ce n'est de mourir comme un faible. Alors elle subit et elle combat pour lui jusqu'au jour où elle parviendra à trouver la faille pour annihiler la technique même si cela doit lui coûter la vie.
Cette technique créée souvent une atmosphère conflictuelle autours de la jeune fille, preuve que les deux puissances sont en guerres. Vous l'aurez deviné, "l'autre" n'est nul autre que Shieien.


[Les deux techniques (I) n'ont laissé ni survivant ni témoin]
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