Yann le Bricoleur

Nom :Korlen
Prénom : Yann
Surnom :Yann le bricoleur! et oui, il peut faire jaillir ce qu’il veut d’une pauvre pièce de bois, de métal, ou même de Pierre, son père, un petit ébéniste sans renom lui a donné ce surnom affectueux après avoir découvert, ébahi, qu’il récupérait discrètement les chutes de ses ouvrages pour les tailler à sa guise, le résultat avait laissé le père sans mots.
Âge et Date de naissance :22 ans, né le 24 février
Sexe et Sexualité :notre individu est un mâle, et était dans sans jeunesse une véritable boule d’hormones surexcitée… des séquelles sont encore visibles sur son caractère, malheureusement pour les jeunes filles qui le croisent, et pour lui surtout…


Caractéristiques Physiques : Une pièce de viande et de muscles de 60 kilos répartis sur une courte taille d’1m62, la nature n’a pas daigné faire de cet individu une force brute. Cependant, couper du bois, tailler de la pierre, chasser, mine de rien, ça vous muscle même le gamin fébrile qu’il était à la naissance… des muscles noueux apparaissent maintenant sur sa silhouette fine, tout en restant dans les limites du raisonnable, pour quelqu’un de sa constitution. Il n’était pourtant pas peu fier de ces bras endurcis, de ce dos souple et résistant, de ces jambes rapides et puissantes qu’il avait gagnés au prix de sa sueur.
De long cheveux noirs tombent en fines mèches sur un visage rieur mais déjà marqué par l’effort, de petites cicatrices s’étiraient sur ses joues, sur son front, et une barbe tressée descendait sur sa gorge, il l’aimait bien, cette barbe, on eût dit celle que portait son vieux père dans le temps, et elle se transmettait littéralement de père en fils, puisque le père de son père lui-même n’était pas moins fier de la porter.
Au niveau de ses habits, il portait ce qu’il trouvait, ou plutôt ce qu’il faisait des habits qu’il trouvait, il appréciait tout particulièrement un ensemble qu’il s’était confectionné, simple, un haut à manches courtes, noir, confectionné à la manière d’un Gi tombant par-dessus un pantalon usé, sombre, qui s’élargissait à ses pieds, nus, comme toujours… trop dur de se faire de bonnes chaussures, et puis de toutes façon, il préférait de loin évoluer sans que rien ne puisse le gêner, ses pieds était tellement habitués à la marche qu’ils étaient à présent cornus, durs comme de la roche, il aurait pu casser un clou en marchant dessus par inadvertance…

Signes particuliers :C’est d’un fils d’artisan qu’il s’agit, rien à voir avec un guerrier de sang… mais il n’avait pas touché à une arme autre qu’un arc de chasse avant qu’il ne se fabrique un ninjato à douze ans avec une pièce d’acier, en suivant les traits d’une image pour enfant que lui avait donné son père, et c’est alors qu’il a commencé à se fabriquer toutes sortes de petites armes, au début simples des petits couteaux de lancer, des dagues, des armes de jet, puis plus évoluées, des lanceurs, des pièges plus sophistiqués. Le seul don que lui a confié la nature, c’est de pouvoir faire ce qu’il veut de ses mains.
Une caractéristique très particulière de ce personnage est que ni lui, ni son père n’ont jamais étés soumis à aucun maître, ils vivaient dans un petit atelier au milieu de la forêt, survivant grâce à la chasse et aux maigre échanges que leur permettaient leurs ouvrages de bois. Depuis tout sa petite enfance, il a donc été presque livré à lui-même, devant chasser seul pour ramener de la nourriture pour deux, il a donc développé une grande discrétion et perception de l’environnement avec lequel il a toujours été en contact, pour pouvoir tuer les plus belles proies, se cacher lors du passage d’un seigneur, ou fuir devant des bandits…

Caractéristiques Mentales : Très inventif, créatif, assez intelligent, toujours près à sourire de tout, même dans les pires situations, il reste souvent très désinvolte, et on l’accuse de manquer de sérieux, mais il reste pourtant honnête et réaliste lorsqu‘il le faut… lorsqu’il se retrouve face à une troupe de mercenaires Utsuwa, par exemple, il sait fuir courageusement… bon, en se ridiculisant volontairement parfois, ou en se moquant ouvertement du danger qui le poursuit… mais il sait qu’il faut fuir, et il le fait…
Il respecte beaucoup la nature et les animaux, et, contrairement aux apparences, il lui arrive de respecter ses semblables, lorsqu’ils le méritent..; certes, c’est pas difficile, il suffit:
1° D’être belle
2° D’être sympa avec lui
2° D’être plus fort que lui (*pas dur*)
3° d’appuyer une lame contre sa gorge ou toute autre partie de son corps qu’il tient à préserver intacte…
4° de lui proposer de la nourriture
Bon, pas forcément tout ça en même temps, mais au moins un ou deux de ces éléments, par exemple, une belle demoiselle qui lui proposera en souriant de manger un steak en menaçant de lui trancher la tête avec une hache d’armes aura gagné tout son respect…

Point fort : « Donnez moi des armes, des chouettes, des brillantes »
« HAHA! » un individu mal habillé saute hors d’un buisson en criant à un pauvre bandit innocent suspendu par un piège à un arbre: « matte un peu ma putain d’arbalète automatique à sous-munition enflure !!! »
Je pense que ça résume à peu près tout ce qui le caractérise, une approche discrète et agile, ultra débrouillard, des pièges et des armes faits mains, mais toujours efficaces, une grande gueule, et bientôt une fuite rapide dans les fourrés avec toute une troupe sur les talons… mais il s’en tirera… il a une chance naturellement indécente…
Point faible : Pas bien gros, pas bien fort, pas bien résistant, il reste un Ningyô… qui plus est, un Ningyô qui aime bien faire des actes complètements inconsidérés, voir simplement stupides…

Histoire : Enfance:
« Deboouut ptit gars! »
Un géant barbu entre bruyamment dans une petite pièce, les murs sont en bois, le mobilier en bois, il y a une petite table, en bois, un hamac presque en bois, et un petit lit au dessus duquel l’homme est baissé
« allez feignasse! » lança l’homme en riant « le bois ne va pas se couper tout seul! Si tu veux manger, il faut bosser mon fils! »
Un jeune enfant se redressa en protestant sur son lit
« Chut! Tais toi le schtroumpf! Tu rêvera plus tard, allez! »
L’enfant se leva péniblement, se traîna vers la table en enfilant un pantalon de toile usée, et s’appuya un instant sur le meuble brut. Il bu une gorgée à la chope de bière qui était posée sur celui-ci, et sorti en marmonnant.
La maison était constituée d’une pièce unique, faite des mains du père avec les arbres avoisinants, elle était somme toute, assez grande pour une cabane. Les murs était constitués de troncs couchés, et chacun était poli, gravé par l’ébéniste. Elle sentait le pin cette maison, comme toute la forêt, l’enfant aimait bien cette odeur, c’était avec elle qu’il avait grandi.
Soudain, l’appel du ventre se fit sentir… ils n’avaient pas mangé depuis le midi de la veille, le grand homme apparu au coin de la maison, sortant d’un petit appentis,
« garde la maison, Yann, et coupe moi ces planches! Je vais voir si il n’y a pas une bestiole qui veut bien se laisser capturer par mes vieux os! »
Le fils salua le père qui s’éloignait, et jeta un regard blasé à la petite scie que lui avait confié son père, puis voyant qu’elle ne voulait définitivement pas aller couper les planches toute seule, il s’avança vers les planches en fredonnant une musique héroïque
« Bon c’est entre toi et moi maintenant! »
Et il entama le bois avec les petites dents de sa scie en métal… ça va être long… je le sens…
Une vingtaine de rectangles de bois plus tard, il commençait à en vouloir à ce soleil qui semblait s’amuser à faire bouillir sa maigre carcasse, il lui jeta un semblant de regard assassin, jeta la scie, pris un petit morceau de bois qui n’avait pas d’utilité, un couteau et alla se réfugier à l’ombre des arbres tout proches. Il s’amusa à faire courir la pointe de la lame dans le bois souple, décorant un petit peu ce pauvre petit bout d’arbre… une dizaine de minutes plus tard, c’était toute une histoire qui avait habillé la chute de bois, un chasseur tapis derrière un arbre guettai un grand cerf à l’air noble qui dressait ses grands rameaux vers la voûte feuillue. L’enfant regarda son œuvre l’air satisfait, couru vers la cabane, la glissa sous son lit avec ses autres petites gravures, et sorti en courant lorsqu’il entendit la voix rauque de son père qui l’appelait, un petit chevreuil dans les bras.
Douze ans plus tard, le même gamin avait bien grandit, et c’était lui qui, son arc en main, accroupi sur un arbre, guettait le chevreuil qui se nourrissait en contrebas.
* allez, un peu plus loin… *
L’animal semblait décidé à ne pas bouger semblait-il, Yann tapotait nerveusement la corde qu’il tenait entre ses doigts
* allez quoi, merde, j’ai faim…*
La ridicule petite queue de l’animal semblait le narguer…
Le chevreuil avança une patte, puis l’autre, fit un pas, recula… vit soudain un brin d’herbe plus appétissant que les autres, avança un peu trop loin, et une masse chevelue sauta d’un arbre en criant. Des pieux avaient jailli du sol, et une masse de bois jailli des fourrés pour venir s’abattre sur la tête de l’animal, répartissant le contenu de celle-ci un peu partout sur les brins d’herbe tant convoités…
« Yeeeesss! Ça a marché!! Bon il en reste plus grand-chose, mais ça a marché!!! »
L’homme retira le cadavre éparpillé des pieux, décrocha ce qui restait de la tête de l’animal, fourra le tout dans un sac de toile et reparti sur ses pas en sifflotant.
Soudain, un bruit sourd retentit, un souffle, le vaillant héros glissa un œil discret par-dessus le tronc renversé qui lui faisait face et mis le nez dans une touffe de poils chaude
« et merde »
L’ours se retourna, curieux de savoir quelle sorte d’abruti pouvait s’amuser à fourrer son nez dans les poils de ses cuisses pendant sa sieste… lorsqu’il aperçu le regard blasé de son terrible attaquant, il cligna des yeux… le temps de les rouvrir, il pouvait voir un sac de toile qui s’enfuyait dans les fougères en criant… trop fatigué pour lui courir après… je me recouche…
Éprouvé par ses épiques aventures, notre chasseur s’en retournait vers sa demeure, il l’aperçu, à la lisière de la forêt, toujours la même, avec cette même odeur de pin, il appela son père, ne reçut pas de réponse
« ce flemmard fait encore la sieste… j’te jure… »
Il posa le sac de toile sur le mur de la maison, s’étira, poussa la lourde porte de bois massif, regarda un instant le vieil homme allongé sur son lit, qui fixait le plafond, il s’avança, lui ferma les yeux, et sorti de la pièce.

VOUS :

Votre Pseudo : ...appelez moi DIEU !
Votre âge : 17
Comment avez vous connu le forum : Je préfère ne pas en parler...
Vos disponibilités : 2-3fois par semaine... ou 2-3 fois par jour, ça dépend mais je reste présent!

Whaaaaaaaaaaaaa enfin un Ningyô !!! Et ce à la réouverture du forum *o*
Yattaaaaaaaaaaaaaaaaa !

Sur ce je vous souhaite la bienvenue et amusez vous bien !

je considère ça comme une acceptation!
Mille mercixx divin fondateur!