Kallo Hone, Seii

- Surnom -
Usano Kamereon. Ou tout simplement, Usa.

- Âge et Date de naissance -
18 ans née le 8 août.

-Sexe et Sexualité -

- Arme -
Kaze Tabi :
Les Kaze Tabis sont des espèces de souliers que Kallo porte. Elles ressemblent énormément au Mizu Gumo qu'utilisaient les ninjas pour marcher sur l'eau. La différence réside dans la composition de l'air enfermé dans les ''coussins''. En effet, l'air enfermé est plus dense et supporte donc mieux le poids de Kallo. Ce sont des souliers de sa confection. Cela réside dans la ''capture'' d'air d'une montagne très haute. Ce qui fait qu'aucun de mes pas est perceptible, je ne fait AUCUN bruit.

Dual Katana : Katana blanc et Katana noir
Le dual Katana est encore une fois une lame de sa création. 220 de QI doit bien servir à quelques choses non ? Bien sur pour utiliser deux katanas il faut avoir 2 bras. Les deux lames sont tellement aiguisées qu'elles couperaient un arbre en un coup. Cela résulte d'un assemblage de métaux, de fibre et de sang pour former la lame. En effet, comme tous les membres de cette île, Kallo est capable d'utiliser a 100% les minéraux, mais son intelligence n'est pas ''normale'' ce qui fait qu'il peut utiliser 130% des métaux, ce qui résultat la création de ses lames. Un coté est super coupant, l'autre est dentelé pour déchirer la chair ou les muscles de ses adversaires. Bien sur il faut deux main, c'est pourquoi l'un n'est pas utilisable sauf combiné avec '' Le désespoir du caméléon''.

- Technique Unique
Le désespoire du caméléon
Kallo a créé une pillule. Elle est fait a base de Ki, d'herbe et de sang de la source rouge. Lors de l'ingurgitation, Un bras de Ki vient remplacer l'ancien. C'est un bras de KI. Donc il est invisible, intangible (sauf si désiré) et inodore.

- Techniques Secondaires -
Mais où est le caméléon ?
Cette technique est probablement la plus utilisé par Kallo. Grace a son Ki, il modifie sa pigmentation de peau ainsi que la couleur de ses vêtements - qui sont conçu a partir de mes cheveux - ce qui me permet d'être invisible. Combiner avec mes Kaze Tabi, c'est un camouflage quasi parfait. Par contre, cela nécessite quelque condition

- être colé du un mur
- ne pas attaqué
- ne pas se déplacer trop vite
- ne pas parler (si je parle les gens peuvent savoir ou je suis)


Le sourire du vent

Le sourire du vent est simple. Il me permet de patiner dans l'air, ce qui me permet d'être plus rapide et plus dificile à pogner. Lorsque je me déplace, je laisse un léger sourire sadique derriere moi. D'où le nom de la technique


- Point Fort -
220 de QI et mes Kaze Tabi (Expliqué dans armes)

- Point faible -
Il me manque un bras, voilà mon point faible. C'est ma principale faiblesses, je ne peux pas porter de truc qui nécessite normalement 2 bras.

J'étais là, assis sur une branche d'arbre dans un parc à me morfondre sur des souvenirs passés qui ne cessaient pas de revenir des entrailles de ma mémoire. Je n'avais pas tendance à me laisser allez si facilement à ces instants de mélancolie. Je ne saurai pas dire pourquoi, mais aujourd'hui c'était si énorme que même avec de la volonté, je n'arrivais pas à détacher mon esprit de ces moments. Ces moments si tristement célèbres dans ma mémoire.

*Retour dans le passé*

Il fût un temps jadis où la vie n'était pas aussi paisible dans ma famille. Une pluie torrentielle s'abattait sur le village. Ma mère était tristement endormie dans le lit. Mon père à son chevet, moi dormant dans les bras de mon père. De plus, mon frère était endormi très profondément dans un coin de la chambre. C'était une nuit très sombre pour ma famille. À jamais, le 8 août sera gravé dans ma mémoire. Non seulement parce que c'était ma date de fête, mais parce que c'était la journée de mort de ma mère. Ma si belle mère. Si jolie et si malade. Mon grand-père était un médecin réputé. Je devais avoir quoi ? Huit ans. Un coup de tonnerre me réveilla, j'avais le sommeil léger.

[ Kallo ] - Père, comment va maman ?

[ Père ] - Bien.

[ Kallo ] - Et où est grand-papa ?

[ Père ]- Dans la pièce à côté.

À moitié endormi, je saisissais le violon de ma maman déposé sur la table de chevet. Un très beau violon. Je le serrai fort contre ma poitrine. J'avais espoir qu'elle allait s'en sortir. Cela faisait plusieurs jours qu'elle était malade. Aujourd'hui, c'était plus aigu, j'avais peur de perdre ma maman. Mon grand-papa disait pouvoir la sauver. J'espérais de tout mon cœur qu'il ne se trompe pas. Perdre ma maman à huit ans, quelle ignominie. Elle était petite, 5,1 pied. Elle avait les cheveux bruns, long. Elle portait une robe de soie, c'était le matériau le plus utilisé dans ma famille. Mon père était un ninja, ma mère une artiste dans l'âme. Une virtuose du violon. Je laissais échapper quelques larmes sur mes joues. Ce fut d'ailleurs mon père qui m'avait appris tous ce que je savais sur cet art.

[ Kallo ] - Papa, quand je serais plus grand ...

[ Père ] - Oui Kallo ?

[ Kallo ] - Quand je serais plus grand, est-ce que tu m'apprendras à jouer du violon ?

[ Père ] - Non Kallo, c'est ta maman qui te l'apprendra. Tu lui demanderas toi-même !

J'avais plein d'espoirs, plein de rêves. Je voulais jouer du violon aussi bien que ma maman. Je voulais devenir un grand ninja comme mon papa. Je voulais être quelqu'un, mais aujourd'hui, tous mes rêves furent brisés en milliers de morceaux de miroirs scintillants dans cette nuit noire. Mon grand-papa entra dans la pièce tranquillement. Il avait avec lui un cabaret avec plusieurs pilules. Il réveilla ma maman très doucement pour ne pas lui faire peur. Il ne voulait pas que son état s'aggrave. Elle était si faible. C'était triste à voir, si triste que je ne pouvais m'empêcher de pleurer. Je retirais la main de mon père de sur moi et je me dirigeais maladroitement vers le lit de ma mère, j'étais triste à voir.

[ Kallo ] - Maman, comment vas-tu ?

[ Mère ] - Beaucoup mieux

Elle mentait, mais je ne le réalisais pas, j'étais trop jeune, trop naïf. Mon grand-papa s'approcha d'elle et lui donna quelques médicaments. Puis il quitta la pièce. Ma maman me regarda avec un sourire aux lèvres

[...] (Trou de mémoire)

[ Kallo ] - J'avais presque oublié, est-ce que tu vas pouvoir m'apprendre à jouer du violon ?

[ Mère ] - ...

[ Kallo ] - Qu'est-ce qu'il y a ?

[ Mère ] - Promets-moi quelques choses. Premièrement, prends soin de ton frère et de ta cousine.

[ Kallo ] - Je le promets.

[ Mère ] - Ce n'est pas tout... Kallo, réveille ton frère.

[ Kallo ] - Pourquoi ?

[ Mère ] - Fais-le chéri

Je ne compris pas pourquoi je devais réveiller mon frère. Ne voulait-elle pas me parler à moi ? Pourquoi devrais-je réveiller mon frère aussi ? Peu importe, c'était ma mère et je me devais de lui obéir. Une fois mon frère réveillé je me réinstallai confortablement auprès de ma mère.

[ Kallo ] - Qu'y a-t-il ?

[ Mère ] - Kallo, Hirako. Je vais mourir

Nous avions tous deux les larmes aux yeux. C'était si spontané, si sec. Nous ne voulions pas y croire. Hirako était paralysé par les événements.

[ Kallo ] - Mais mère, vous m'aviez dit que vous alliez mieux... Et les médicaments que vous prenez ?

[ Mère ] - Les médicaments que je prends ne font qu'atténuer la douleur. Vous êtes des membres de la famille Hone alors soyez fort. Faites tout ce que vous désirez, mais soyez heureux. Rappelez-vous ceci toute votre vie. Nous n'aurons de bonheur qu'à proportion du désespoir que nous serons capables de traverser. C'est cela même : Le bonheur, désespérément. ¹

[ Kallo ] - Mais mère, je ne comprends pas

[ Mère ] - Un jour Kallo, un jour tu comprendras.

*Retour*

Une triste mélancolie m'envahit. J'étais confortablement installé dans mon arbre, les pensées troubles. Je ne cessais de me remémorer ces instants de malheur. J'essayai de comprendre comment est-ce que cela pouvait bien avoir eu lieu ? Pourquoi est-ce qu'aujourd'hui que ces moments m'étaient revenus à l'esprit ? Je ne pouvais rien n'y faire. J'essayais tant bien que mal de me souvenir de la partie manquante, mais j'étais trop jeune. Cette partie de ma mémoire était effacée à jamais. Est-ce que je l'avais volontairement effacée pour m'éviter du mal, je ne sais pas, mais le résultat était là, la mémoire me manquait.

¹ : Le bonheur désespérément, André Compte-Sponville.

[Kallo] - [Shizuka]

L'astre éternel et incandescent était très haut dans le ciel. Midi s'annonçait, le soleil allait atteindre son zénith d'ici peu, c'était inévitable. Pour moi, c'était le temps de me mettre en chasse. La journée d'avant, j'avais reçu un message. Ce message demandait ma présence dans les montagnes, une cible avait été repérée : Shizuka. Il était 11 heure et je n'avais même pas commencé à me préparer. Ce « début » de journée allait très mal. Je venais tout juste de me tirer des bras de Morphée que j'ai mis le pied dans une substance louche que je me plais à appeler : « la flaque ». Je sautais sur un pied en essayant d'essuyer les résidus visqueux de cette « flaque ». Manque de chance, je posais le pied sur un étui à parchemin. Incapable d'arrêter ma chute, je me cognais la tête sur un meuble qui me servait à « entreposer » mes vêtements. La commode s'effondrait sur moi en vomissant les vêtements « soigneusement » rangés. De peine et de misère, je réussis à me relever replaçant à son emplacement d'origine le monstre de bois. J'avais avalé mon déjeuner à une vitesse phénoménale. Le violon à la main, un katana dans l'autre, je m'empressais d'aller vers le lieu où Shizuka avait été repérée. Le soleil finit par atteindre son zénith et je n'étais pas encore arrivé. Il ne fallait pas que je traîne trop, plus le temps passait, moins j'avais de chance de la trouver. Des rayons anormalement chauds baignaient sur mon visage. J'étais très excité et effrayé à la fois. Vais-je réussir à la trouver ? Qu'est-ce qui m'attend là-bas ? Voici les questions qui hantaient mon esprit tout le long du trajet. Le sol boueux n'aidait vraiment pas à ma vitesse de déplacement. Comme si j'avais réellement besoin de cela. La journée précédente, le ciel était déchiré et fondait en larmes torrentielles, ceci expliquait le terrain très glissant. Arrivé sur le lieu, je pouvais distinguer une silhouette féminine dressée au milieu d'un « lac » brun. Ce n'était pas très joli à voir. Normalement, c'était un paysage magnifique. Aujourd'hui, je trouvais du vomi plus attirant que ce lieu. Plus je m'approchais, plus je pouvais distinguer les habits de cette jeune dame. Elle n'était pas seule, enfin elle ne l'était plus. Effectivement, je pouvais distinguer 3 corps sur le sol. J'étais arrivé trop tard. Ce fut un combat très rude, Shizuka était très blessé. Après tout, trois contre un, ce ne devait pas être très simple comme combat. Au cours de mes années en médecine, j'ai appris à avoir une déconnection avec la mort. Si elle devait m'accepter, quel ninja serais-je ? Mon retard avait couté la vie à ses gens. Elle n'était pas si grande, elle était habillée en mauve avec un chapeau de paille que l'on appelait Sakkat. Baissant les yeux vers ses hanches, je pouvais distinguer un katana. Que faisait-elle ici ? Une crainte m'envahit, ai-je la force nécessaire pour la vaincre ? M'approchant maladroitement, je saluai la jeune dame.

[Kallo] – Shizuka Warutsu ?


[ Shizuka ] - Qui la demande ?


[Kallo] - Je m'appelle Kallo Hone


[ Shizuka ] - Je sais tout de toi petit garçon qui perdit sa mère le jour de sa fête

Tout cela était mauvais. Comment avait-elle fait pour connaître cela ? À quoi est-ce que cela rimait ? Je n'avais pas eu le temps de me poser d'autres questions qu'elle s'était déjà élancé vers moi pour me donner un coup de poing au visage. Pris par surprise, ce furent les réflexes qui protégèrent mon visage, en dépit de mon violon qui alla s'écraser contre le sol boueux.

[ Kallo ] - Je n'ai pas d'autre choix que de l'écraser. Pour ma fierté.

Je me mis en position offensive. Ma famille m'avait enseigné, depuis que j'étais jeune, l'art du combat au katana. C'était la première position que j'avais apprise ; le « Ikken ». Ma main droite était sur le fourreau le tenant solidement, ma main gauche quant-à-elle était prête à dégainer. Mon pouce droit était appuyé sur la garde du katana augmentant ainsi la rapidité du coup. Mon adversaire dégaina tout simplement, sa position était aussi très agressive. En effet, elle tenait son katana de la main droite dénotant ainsi le fait qu'elle était droitière. Le combat était inévitable.


[ Shizuka ] - Un vulgaire gamin, cela devient ridicule.


[ Kallo ] - Si ce n'est que cela, ça va être facile pour toi. Ne me sous-estime pas !


[ Shizuka ] - Ne rigole pas si vite petit impertinent. Es-tu si fier de ton niveau ?


[ Kallo ] - Trêve de bavardage, les femmes d'abords


Ça n'allait pas être un combat facile, je le savais. Tout ce que j'espérais, c'était qu'elle tombe dans le piège de la provocation. Au moment où elle entrerait dans le rayon d'action de mon arme, je dégainerais mon katana si vite, qu'elle ne pourra même pas voir venir le coup. Je ne devais pas perdre ma concentration, c'était un combat important. L'enjeu était énorme ; la survie. Je devais mettre à profil ces années d'entrainement passé avec ma famille et en solitaire. Je devrais prouver à cette jeune dame ce dont un Hone était capable, mais avant tout, je devais me prouver que je ne m'étais pas entraîné pour rien. La chaleur n'aidait pas ma cause, les rayons étaient si puissants que j'arrivais de peine et de misère à me concentrer. Ce n'était qu'un léger détail, mon honneur était en jeu. J'avais un avantage sur elle, un avantage considérable. J'étais gaucher. Il existe bien plus de droitier que de gaucher. Ce n'est pas de s'entraîner avec un gaucher qui est difficile, le défi réside dans la recherche d'un adversaire gaucher. Il n'y avait pas ou presque pas de vent, les montagnes servaient de coupe vent. Mon adversaire décida d'avancer pour attaquer. Au moment où elle fut à distance, je dégainai mon sabre. À ce moment même, je m'écriai : « Ikken ». La lame de mon sabre fendait l'air en direction de mon adversaire. Je ne voulais pas le croire. Shizuka effectua une rotation sur elle-même plaçant son sabre à la verticale pour bloquer mon coup. Elle savait bien qu'une seule main ne suffirait pas, c'est pour cela qu'elle utilisa sa main gauche comme renfort pour la lame. Elle était maintenant de côté à moi. Elle donna un coup de poing dans ma direction qu'elle arrêta devant mes yeux. Une fraction de seconde plus tard, je perdis le souffle. Elle venait de créer un angle mort avec son poing pour me donner un coup de pied. Ce coup de pied portait le nom de : « Yoko Geri Kekomi », une technique utilisée pour défoncer. L'impact fut si puissant que je fus projeté quelques mètres plus loin.


[ Shizuka ] - Alors, toujours aussi fier ?


Je réussis à me relever de peine et de misère. Mes vêtements étaient couverts de boue et on pouvait facilement distinguer mon oeil blanc. Je commençais à peine regagner mon souffle. C'était décidé, je ne pouvais pas la laisser gagner, mais je ne pouvais pas l'attaquer. Elle était trop près de mon violon, je devais la faire venir à moi. Comment faire ? La ruse ? C'était ma seule option. Il fallait être subtil. Il ne fallait pas qu'elle remarque mes intentions.


[ Kallo ] - Ce n'est pas une question de fierté. Il ne faut pas être fier parce que tu as réussi à me toucher une seule fois


En réalité, je dois l'avouer, elle est très forte. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle crée un point mort. Je pouvais apercevoir que ma provocation avait fonctionné, elle s'élança vers moi le katana brandît dans les airs. J'avais eu à peine le temps de placer mon katana à l'horizontale au-dessus de ma tête que ma lame bloqua la sienne. Elle leva la jambe prête à me donner le même coup de pied que la dernière fois. Je positionnai mon corps de côté esquivant ainsi son coup de pied. De plus, j'étais dans son dos. Elle décida de me donner un coup de coude au visage avec son coude droit. Levant mon bras droit, je faisais en sorte que son coup était bloqué l'empêchant de se retourner. Avec ma jambe droite, je donnai un coup dans l'arrière du genou ce qui la força à le déposer au sol et j'en profitai pour placer un coup de coude au vissage. Par la suite, je fis quelques bonds vers l'arrière. Qui est-ce qui sait ce qu'elle est capable de faire même dans cette position ?


[ Kallo ] - Elle est belle ma fierté, n'est-ce pas ?

[ Shizuka ] - Ce n'est que le début, tu vas ravaler tes paroles.

[ Kallo ] - Je dois te l'avouer, j'ai été surprit au début. Maintenant c'est à mon tour d'attaquer. Je ne sais toujours pas pourquoi les autorités de Kumo m'ont donnés cette mission, mais je vais la réussir.

[ Shizuka ] - Frimeur va!


J'avais réussi à l'éloigner de mon violon, c'est maintenant que le vrai combat commence. Le katana dans une main, le fourreau dans l'autre, je m'élançai en direction de mon adversaire. La boue gênait énormément mes déplacements. Je n'étais pas aussi rapide qu'elle, de ce fait, elle avait eu largement le temps de se relever et de se préparer à esquiver. J'étais déterminé à la vaincre. Je me préparais à faire une attaque latérale lorsque, en une fraction de seconde, sa lame changea de main. J'avais eu tout juste le temps de me tasser pour éviter de lourd dégâts. Sa lame venait de me couper au niveau des cotes. Je perdis l'équilibre et j'envoyai mes bras ici et là en espérant retrouver mon équilibre. Dans la mêlé, un coup de poing la frappa au visage et elle recula. Retrouvant mon équilibre, n'abandonnant pas, je m'élançai dans sa direction pour lui donner un coup de lame au vissage qu'elle esquiva aisément. Là était mon but. Au moment où ma lame traversa sa tête, je fis un mouvement contraire à mes hanches pour ramener mon corps dans sa direction et lui donner un coup de lame ramené. Ma technique échoua, elle fit un saut vers l'arrière pour l'esquiver. Il ne fallait pas abandonner, je donnai un coup de pied dans le vide dans sa direction. Bien entendu mon but n'était pas de l'atteindre, mais de lui lancer de la boue avec mon pied. Manque de chance, mon pied glissât à cause de la boue. Elle profita du moment pour venir m'attaquer. Dans un élan d'adrénaline, je mis ma main gauche sur le sol, ainsi que ma jambe gauche. Profitant de la situation, je me suis propulsé de toutes mes forces dans sa direction le pied droit tendu vers elle. Mon attaque à miraculeusement réussis. Elle encaissa le coup en pleine figure ce qui la projeta sur le sol me permettant de me relever. Tout en articulant une phrase, je me replaçais droit


[ Kallo ] - Voici la fierté des Hone

[ Shizuka ] - Ce n'était que de la chance, ne me fais pas rire.

[ Kallo ] - Je réussirais cette mission.


C'est à ce moment-là que je m'élançai dans la direction de mon adversaire. Shizuka prit son sabre et donna un coup dans ma direction, je n'essayais pas de l'éviter complètement. La lame me trancha le côté gauche de mon corps et avec mon bras gauche, je saisis son bras l'empêchant de quitter le corps à corps. Concentrant toutes mon énergie dans mon poing, j'expulsais un coup dans le visage de mon adversaire du côté droit, en plus de la force du poing, je tirais sur son bras en direction du sol. Ma technique avait réussis. Elle alla se fracasser sur ma jambe gauche qui c'était élancée dans sa direction. Sa colonne vertébrale n'était plus. Elle s'écrasa sur le sol


[ Kallo ] - Voici la fierté incandescente des Hone qui anime ma volonté, mon corps et mes désirs. Grace à elle, j'ai du coeur, du courage, de l'esprit, de la persévérance et jamais je ne vais abandonner.


Encore une fois, je n'en croyais pas mes yeux. Le corps fraichement fracassé venais de disparaître. Qu'est-ce qui s'était passé ? J’étais sans protection. Mon manque d'inattention venait de coûter mon bras, elle venait de me couper le bras avec son katana. Ne sachant pourquoi, elle s'enfuit avec son trophée de guerre


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